Toujours à la recherche d’idées originales pour décorer mon bureau dans lequel je passe la majorité de mon temps (et oui, il faut s’y sentir bien !), j’ai eu envie de tester l’impression sur bois. J’avais déjà vu quelques boutiques utilisant ce concept pour décorer leurs vitrines et je trouvais le résultat final vraiment agréable à l’œil, il ne me restait qu’à essayer !
Tu n’est pas sans savoir que j’adore shooter des Polaroid, c’est donc naturellement que j’ai choisi un pola pour ce premier test.
J’ai commencé par scanner une photo prise devant l’une des grandes pyramides mayas de Tikal en haute résolution (1200dpi) avant de la rogner au format carré pour supprimer la bordure blanche.
Je suis passé par le site webprint pour réaliser ma commande : il suffit de choisir le support (ici le bois) et le format. Vu que la photo n’est qu’un scan et qu’il ne me reste pas beaucoup de place dans le bureau, je me suis arrêté sur le format 40 par 40 cm. Une fois la photo chargée sur webprint, le site t’indique si ta photo est d’assez bonne qualité pour être imprimée avec ces dimensions. Pas de problème pour mon scan, la commande est lancée.
Le résultat :
Moins d’une semaine plus tard, j’ai reçu le colis contenant ma précieuse photo. Je tiens à souligner qu’elle était vraiment bien protégée : renforts en mousse aux coins et papier bulle sur l’intégralité.
Franchement, je suis surpris du résultat ! Les teintes sont légèrement plus pastelles, certainement à cause du bois qui par capillarité absorbe de l’encre. La fine texture du bois apparaît légèrement et donne une âme originale au cliché. C’est pas mal non, tu en penses quoi ? Il ne me reste qu’à l’accrocher au mur !
comparaison :
Pour t’aider à mieux visualiser, voici une comparaison entre la photo chargée sur le site (à gauche) et le tableau reçu (à droite). Maintenant que j’ai une meilleure idée du résultat, je vais choisir d’autres polas à imprimer sur bois pour me faire une petite série !
Et toi, motivé pour tester ?
Cet article est le fruit d’une collaboration entre Webprint et J’aime le monde. Tous les choix éditoriaux de cet article me reviennent.